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Matt81 a écrit:
Pour tout ce qui est communication avec les familles et patient déjà qu'on cherche à éliminer les communications via téléphone, c'est pas pour les envoyer par emails.
Suite à ce message, j'aimerais en savoir plus...
Je conçois que certaines pathologies impliquent une rupture avec la famille.
Néanmoins, je ne pensais pas que cela était de rigueur pour tout les patients...
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Mon message s'adressait à la communication médical --> patient et médical --> famille, pour le médical --> patient, rien ne vaut une communication face à face, ne serait-ce que pour sentir si les mots utilisés sont compris, s'assurer qu'on parle le même langage, de la même chose, surtout derrière des mots très médiatisés il faut être très attentif. Pour ce qui est de médical vers famille, là c'est encore plus délicat car soumis à l'accord du patient, le mieux étant donc que ce soit le patient qui explique à sa famille, mais il peut demander aux médicaux de transmettre l'information.
Il n'y a pas de rupture avec la famille, sauf peut etre pour les pathologies de courte durée ou peu grave, le reste du temps la famille fait partie de la relation, mais il est inconcevable d'informer la famille via une newsletter de l'état de santé du malade...
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Merci pour ces précisions, j'avais déjà pris connaissance (lors d'une discussion avec un soignant) de la communication de l'état d'un patient vers sa famille. Merci d'en souligner l'importance ici. Je me doute qu'une newsletter n'est pas obligatoirement le plus approprié dans une relation synchrone. Néanmoins, pensez-vous qu'un effort serait nécessaire à ce niveau (communication état sous l'approbation du patient) et si oui, de quel type ?
Cela freine-il certaines démarches ?
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L'effort à faire serait oui de pouvoir accorder plus de temps aux familles, mais ceci est vite limité par les informations que le malade est d'accord pour que l'on transmette. Cela ne freine pas les démarches car c'est le patient qui a le choix des décisions pas sa famille (sauf mineur).
Enfin d'une manière générale vous aurez remarqué que je suis pour des relations humaines dès qu'il s'agit de l'interface soignant / non soignant car chacun sont métier, celui des soignants c'est de savoir ce qui est possible de faire et pourquoi, de proposer et d'expliquer les différentes options, et d'accompagner dans les décisions en fournissant toutes les cartes au patient. le patient, lui choisi ce qu'il veut faire pour lui même.
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Matt81 a écrit:
vous aurez remarqué que je suis pour des relations humaines dès qu'il s'agit de l'interface soignant/non soignant.
C'est justement ça qui est bien, je pense qu'il en est de même pour beaucoup. Je dois donc m'orienter vers un autre type de relation.
merci donc de cette précision :
= savoir ce qui est possible de faire et pourquoi + proposer et expliquer les différentes options + accompagner dans les décisions en fournissant toutes les cartes au patient
= choisi ce qu'il veut faire pour lui même
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